Jesus’ blood never failed me yet. This one thing I know, for He loves me so.(Onbekende dakloze, Londen 1971)
FC Bergman s’est inspiré de la majestueuse salle Rubens du Musée royal des Beaux-Arts d’Anvers. Une histoire poignante à propos de cette salle de musée, de ses œuvres, et surtout de l’être humain qui vient chercher réconfort et protection au musée. Après une série de représentations en Belgique et aux Pays-Bas, Het land Nod est à présent à l’affiche du Festival d’Avignon (FR) et du Zürcher Theater Spektakel (CH).
« À l’instar des cinéastes français des années 60, FC Bergman insuffle un nouvel élan au paysage théâtral. Les parallèles confirment leur enthousiasme juvénile et leur langage innovant. » – Lotte Philipsen dans Focus Knack, le 5 mai 2015
« Dans ce décor, dans cette pâle lumière de l’éternité, des personnages humains deviennent spontanément trop petits pour la mission que la vie leur impose. Surtout le personnage de Stef Aerts, un collaborateur du musée, vêtu d’un sarrau gris, dont le sens du devoir s’étiole, l’illustre bien. Son mètre pliant s’avère trop court pour mesurer l’histoire. Son marteau est trop lourd, son échelle trop instable pour affronter les murs de son existence. (…) Dans ce spectacle d’atmosphère, sans texte, FC Bergman se mesure aux grands maîtres : le naturalisme mystique de Romeo Castellucci, l’absurdisme mélancolique de Christoph Marthaler, et la dynamique dansante de Pina Bausch. Voilà qui confère de la grandeur visuelle à Het land Nod. » – Wouter Hillaert dans De Standaard ***, le 9 mai 2015
« Dans Het land Nod, l’être humain, petit et dénudé, est en quête de protection entre les murs immenses du musée. Cela donne lieu à des images captivantes, qui font d’un spectacle de FC Bergman, même moins stratifié que d’habitude, un événement impressionnant. » – Evelyne Coussens dans De Morgen ****, le 11 mai 2015
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Performances